J’ai présenté l’un de mes premiers projets lors d’un afterwork au Campus Numérique 47 : une projection mapping mêlant image et création sonore sur la façade d’un bâtiment. Le contexte était idéal : brève liberté, trois minutes de vidéo, une ambiance drone sombre—tout ce que j’aime pour explorer des textures et des dynamiques.
Préparation
Pas de cahier des charges particulier, j’ai donc construit une bande-son orientée atmosphères : nappes sombres, impacts feutrés, éléments granuleux, et quelques évènements plus marqués pour accompagner les transitions visuelles du vidéaste. L’idée était de faire respirer l’espace de la façade, plutôt que de le saturer.
Présentation publique
Environ 60 personnes étaient présentes pour découvrir le résultat. J’ai reçu des retours intéressants sur la spatialisation perçue et la relation entre les ruptures visuelles et les changements d’énergie sonore.
Ce que je retiens
- La liberté créative permet des choix sonores radicaux — utiles pour construire une identité.
- Sur une façade, les micro‑événements fonctionnent mieux qu’une densité sonore constante.
- Le public réagit fort aux silences bien placés autant qu’aux impacts.